Un édulcorant cultivé et transformé ici, qui bouscule un marché dominé par des mastodontes du sucre. La promesse est ambitieuse, le chemin exigeant. La stevia “made in France” portée par Oviatis ouvre une brèche entre souveraineté alimentaire, agronomie de précision et nouvelles attentes santé.
Derrière la jolie feuille verte, il y a un pari industriel, des producteurs engagés et un combat de distribution face à Béghin Say, Saint Louis Sucre, Daddy, Erstein, La Perruche ou encore CristalCo. Si tu cherches une alternative crédible au sucre sans tomber dans les extrêmes, voici ce qu’il faut savoir pour comprendre l’enjeu… et agir à ton échelle.
Vivre mieux sans tomber dans les extrêmes ? Voilà ce qu’il faut retenir : |
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✅ Point clé #1 : La Stevia Française portée par Oviatis veut concilier goût, traçabilité et circuits courts 💡 |
✅ Point clé #2 : commence simple : remplace 100 g de sucre par une dose adaptée de stévia (guide ici ➜ calcul pratique) 🍰 |
✅ Point clé #3 : méfie-toi des extraits trop raffinés qui peuvent laisser de l’amertume. Privilégie les formats adaptés aux usages maison 🧪 |
✅ Point clé #4 : observe l’étiquette, surtout l’origine et les additifs. Priorise le bio local quand c’est possible 🌿 |

Stévia française : comment Oviatis structure une filière locale face aux géants du sucre
Oviatis s’est donné une mission claire : faire émerger une filière La Stevia Française cultivée et transformée en Nouvelle-Aquitaine et Occitanie, 100 % bio, avec une traçabilité totale du champ à l’assiette. L’entreprise s’est imposée comme un transformateur de référence en infusion concentrée et prépare l’extension vers des extraits purifiés, en gardant un ancrage local fort.
La genèse s’est faite avec des producteurs bio du Sud-Ouest, épaulés par la R&D d’acteurs comme l’INRAE et Invénio, puis des partenaires process tels que IFTS, Rouages, Fauquet ou Les Mines d’Albi. Ce montage a donné naissance à la dynamique Aquitaine Stevia Innovation : un écosystème qui réunit agronomie, extraction douce et séchage de précision, pour stabiliser les performances d’un végétal exigeant.
Concrètement, la filière a progressé par paliers. De 3 ha en 2018 à environ 15 ha en 2020, avec un cap fixé à 60 ha dans les années suivantes et l’ambition d’atteindre 300 ha à horizon 2030. En 2025, la feuille de route reste la même : sécuriser les rendements, élargir le réseau d’agriculteurs sous contrat, et monter en volume pour fournir à la fois des marques grand public et l’industrie agroalimentaire.
Côté produits, Oviatis a mis en marché une poudre sucrante et des infusettes au goût légèrement herbacé. La marque Biovia cible les magasins bio spécialisés (avec une présence annoncée chez Biocoop), quand Orevia prépare une arrivée en grande distribution. Pour le B2B, le cœur de l’offre reste l’infusion liquide concentrée, utilisée par des transformateurs qui cherchent à reformuler des boissons ou des desserts sans sucre ajouté.
À quoi s’oppose ce projet ? À un marché verrouillé par des acteurs historiques : Béghin Say, Saint Louis Sucre, Daddy, La Perruche, Erstein et CristalCo occupent les linéaires et maîtrisent sourcing, volumes et marketing. Côté édulcorants, Pure Via et Canderel ont un boulevard en grande distribution depuis des années, avec des moyens promotionnels considérables.
Créer une filière française de stévia, c’est donc jouer une partie tactique : convaincre des agriculteurs d’implanter une plante peu connue, financer des outils d’extraction, sécuriser des contrats industriels, gagner une place en rayon, et rassurer des consommateurs parfois méfiants vis-à-vis des édulcorants.
Ce qu’il faut surveiller pour bien choisir ta stévia
Avant d’acheter, demande-toi ce que tu veux dans ton assiette : un extrait ultra-raffiné importé, ou une solution locale qui favorise des producteurs français. Les deux existent, mais les compromis ne sont pas les mêmes : goût, empreinte carbone, transparence.
- 🌿 Priorité à l’origine : France si possible, bio si tu peux.
- 🧪 Vérifie la composition : glycosides de stéviol, additifs éventuels, agents de charge.
- 🍵 Observe le format : poudre, infusette, infusion liquide, selon tes recettes.
- 📊 Ajuste le dosing grâce à ce guide utile ➜ remplacer 100 g de sucre.
- 🧁 Commence petit et goûte : l’amertume dépend de l’extrait et de la matrice alimentaire.
Si tu veux un cadre simple pour alléger tes apports, commence ici ➜ éviter le sucre sans frustration. À chaque étape, garde le cap santé sans tomber dans les extrêmes.

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Comprendre la stévia : propriétés, usages et différence entre la stévia française et les importations
La stévia, c’est une plante, pas un additif chimique. Ses molécules sucrantes, les glycosides de stéviol (dont le rebaudioside A), sont perçues par nos papilles comme du sucre mais sans apporter de calories. Selon la pureté de l’extrait, la puissance sucrante peut être 150 à 300 fois celle du saccharose. Résultat : il en faut très peu pour sucrer, avec un impact calorique quasi nul.
Mais toutes les stévias ne se valent pas. Une stévia importée très raffinée peut être ultra-puissante mais parfois plus amère, surtout si elle est surdosée. À l’inverse, une stévia française issue d’infusion de feuilles peut offrir une saveur plus ronde, avec un léger côté végétal qui passe bien dans les thés, les yaourts, les sirops maison et les desserts fruités.
Pour faire le tri, un détour par les bases aide à y voir clair ➜ c’est quoi la stévia, vraiment ? Et pour coller à tes objectifs de forme, jette un œil aux bénéfices d’un quotidien sans sucre ajouté : énergie plus stable, meilleure gestion de la faim, peau plus régulière chez beaucoup de personnes.
Feuilles infusées vs extraits purifiés : quel impact en bouche ?
Les infusions de feuilles concentrent une palette aromatique légèrement herbacée, intéressante dans les boissons, les compotes ou les sirops (menthe, grenadine). Des produits comme des sirops 0 calorie montrent que c’est faisable, même si l’équilibre aromatique demande du savoir-faire.
Les extraits purifiés (souvent importés) sont plus neutres et puissants, adaptés aux industriels pour des recettes très standardisées. Ils exigent un dosage ultra précis et parfois des correcteurs d’amertume. L’enjeu d’Oviatis est d’arriver à proposer les deux voies, en gardant une empreinte locale et une transparence maximale.
Comment l’utiliser en cuisine, sans prise de tête
Tu n’as pas besoin de refaire tout ton placard. Choisis un format et teste-le sur 1 ou 2 recettes que tu connais par cœur. Le but est d’apprendre le bon geste, puis d’élargir.
- 🥣 Dans un yaourt nature, commence par 2 à 3 gouttes d’infusion ou une pointe de cuillère de poudre.
- 🍵 Pour le thé ou une tisane, l’infusette est pratique et évite l’overdose.
- 🍓 Dans une compote, un petit volume d’infusion suffit, la pectine masque bien l’amertume.
- 🥞 Pour les pâtisseries, ajuste les volumes secs (la stévia n’apporte pas de masse). Révise les équivalences ici ➜ stévia vs sucre.
- 🎯 Teste 1 changement par semaine. Les habitudes tiennent mieux comme ça.
Besoin de repères quotidiens ? Pioche des idées de menus sans sucre ajouté ici ➜ matin, midi, soir. Et si tu t’interroges sur les polémiques autour de la stévia et des édulcorants, ce décryptage t’aidera ➜ pourquoi on dit parfois que la stévia est “interdite”.
Les consommateurs qui adoptent la stévia le font souvent pour réduire les pics glycémiques et sortir de l’addiction au sucre. Si c’est ton cas, une lecture utile ➜ arrêter le sucre pour alléger le quotidien. Tu peux aussi explorer des produits sans sucre pour élargir tes options.
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Un marché dominé par Béghin Say, Saint Louis Sucre, Daddy, Erstein et CristalCo : où se situe Oviatis ?
Le marché français du “sucré” est structuré par des marques puissantes et des coopératives solides. Les acteurs historiques du sucre de betterave et de canne – Béghin Say, Saint Louis Sucre, Daddy, Erstein, La Perruche et CristalCo (groupe Cristal Union) – contrôlent volumes, merchandising et communication de masse. Ils occupent chaque linéaire : pains de sucre, cassonade, sucre glace, spécialités pâtissières, sucres bio et équitables.
En face, les édulcorants “light” ont leurs champions : Canderel pour l’aspartame/érythritol et Pure Via pour la stévia importée. Ils ont imposé des réflexes d’achat avec formats sticks, comprimés et poudres, soutenus par des campagnes à la télévision et en digital. Le consommateur moyen associe spontanément “édulcorant” à ces marques, ce qui rend l’entrée en rayon d’un challenger plus complexe.
Oviatis n’affronte donc pas seulement des producteurs, mais une machine de distribution rodée. La stratégie différenciante repose sur le made in France, le bio, les circuits courts et une qualité organoleptique travaillée via l’infusion. Ce positionnement répond aux attentes de transparence et de durabilité, tout en cherchant un ancrage B2B pour sécuriser les volumes.
Panorama express des positions
Acteur 🏷️ | Force en rayon 💪 | Proposition “sans sucre” 🌿 | Note “local/traçable” 📍 |
---|---|---|---|
Béghin Say | Très forte | Références réduites (alternatives sucrantes) | Moyenne |
Saint Louis Sucre / La Perruche | Très forte | Peu d’édulcorants | Moyenne |
Daddy / Erstein | Forte | Segments “allégés” ponctuels | Moyenne |
CristalCo | Forte | Déploiements ciblés | Moyenne à forte |
Pure Via | Forte | Stévia importée | Variable |
Canderel | Forte | Aspartame/érythritol | Faible à moyenne |
Oviatis (La Stevia Française) | Émergente | Infusion, poudre, sirops 0 cal ✨ | Forte |
Cette cartographie bouge. Les géants peuvent réagir vite avec des gammes “naturelles” si la demande s’accélère. D’où l’intérêt, pour un projet local, de créer des alliances : distributeurs bio, MDD régionales, industriels des boissons low/no sugar, artisans glaciers, pâtisseries engagées, chaînes de coffee-shops en quête d’un sucrant cohérent avec leur promesse “clean label”.
Trois clés pour percer dans les linéaires
- 🧭 Raconter l’origine et les visages (producteurs, territoire, savoir-faire).
- 🧪 Démontrer l’usage en recettes simples, avec équivalences claires.
- 🤝 Sécuriser le B2B (contrats) pour amortir la saisonnalité et les aléas de culture.
Tu veux comparer calmement les options sucrantes et édulcorantes ? Ce guide t’aidera à faire le tri sans dogme ➜ remplacer le sucre par la stévia. Et pour comprendre pourquoi certaines molécules sont discutées, lis ce point réglementaire ➜ aspartame : où en est-on.
Risques et défis : technologies, régulation, prix et acceptation du goût
La réussite d’une filière ne tient pas qu’à la bonne volonté. La stévia est une culture gourmande en main-d’œuvre et sensible aux épisodes de sécheresse, surtout en période de croissance. Les coûts de récolte et de séchage doivent être maîtrisés, tout comme la stabilité des glycodies de stéviol au fil des lots. À l’échelle industrielle, une infusion concentrée exige des équipements de filtration et d’évaporation fins, avec une hygiène irréprochable pour garantir la constance du goût.
Sur le plan réglementaire, les édulcorants issus de la stévia sont encadrés par l’UE (E960, glycosides de stéviol). Les attentes “clean label” poussent à limiter les additifs, tout en gardant une expérience sensorielle agréable. L’acceptation du marché français est un vrai sujet : beaucoup associent encore “édulcorant” à “artificiel”. Rappeler qu’il s’agit d’une plante et expliquer la transformation est indispensable.
La compétitivité prix face au sucre reste un obstacle. Le sucre bénéficie d’économies d’échelle et de filières centenaires. La stévia française, elle, se construit. Pour s’imposer, il faut des recettes où l’avantage santé et le profil aromatique compensent un coût par dose parfois plus élevé. Les boissons sans sucres ajoutés, les desserts végétaux et les confiseries “better-for-you” sont des cibles naturelles.
Le nerf de la guerre : le goût et le bon dosage
Le goût se travaille. Les infusions peuvent être plus “vertes” en bouche, mais bien dosées et associées à des matrices fruitées, elles tiennent la distance. Les extraits plus purifiés, eux, demandent un pilotage millimétré et des ajustements aromatiques. D’où l’importance d’un guidage des usages pour l’industrie et le grand public.
- 🧉 Boissons : l’infusion de stévia brille dans les sirops mentholés/citronnés et thés glacés.
- 🍮 Desserts : fonctionne bien avec les fermentés (yaourts, kéfir) et les compotes.
- 🍫 Chocolat : plus pointu, l’amertume peut s’additionner. À tester avec parcimonie.
- 🥐 Boulangerie : attention à la perte de masse (remplacer par fibres/farine).
Le risque industriel ? L’incohérence organoleptique entre lots. La parade ? Un sourcing serré, un cahier des charges qualité “feuilles” exigeant, et des protocoles d’infusion reproductibles. C’est là que Oviatis joue sa crédibilité : process 100 % naturel, au plus près des champs, pour limiter les variabilités.
Enfin, il faut composer avec la météo économique. Les coûts de l’énergie, la logistique et les matières sèches influent sur le prix final. Les contrats pluriannuels avec les clients B2B sont une bouée de stabilité. Côté consommateurs, l’accompagnement par des repères clairs et des équivalences évite les erreurs de dosage. Si tu veux avancer en douceur, voici des pistes concrètes ➜ 10 réflexes anti-sucre.
Conclusion de cette étape ? La bataille se gagne sur trois fronts : agronomie maîtrisée, technologie propre, et pédagogie du goût. Sans ces trois piliers, impossible de durer.
Atouts, innovations et empreinte environnementale : ce que change une stevia 100 % française
Le premier avantage, c’est la souveraineté. Produire un édulcorant La Stevia Française réduit la dépendance aux importations et sécurise des emplois agricoles et industriels sur le territoire. Cette logique rejoint la dynamique plus large de relocalisation agroalimentaire et de montée en gamme des filières bio.
Côté environnement, une filière locale raccourcit les trajets et limite les émissions transport. L’extraction par infusion – plutôt que des procédés chimiques lourds – s’inscrit dans une approche “low impact”. Les feuilles sont séchées pour stabiliser la matière, puis infusées/filtrées pour obtenir une base sucrante. Moins d’étapes chimiques, plus de savoir-faire thermique et d’hygiène.
Le deuxième atout est social : rémunération équitable des agriculteurs, sécurisation par contrat, et diversification des assolements. Pour un producteur du Lot-et-Garonne ou des Pyrénées-Atlantiques, la stévia ouvre une voie complémentaire aux cultures classiques (blé, maïs), avec des revenus potentiellement attractifs quand les itinéraires techniques sont bien calés.
Sur le produit, la touche “infusion” apporte une identité sensorielle utile aux marques qui veulent sortir des profils standardisés. Un sirop de menthe 0 calorie réussi se reconnaît à sa fraîcheur et sa limpidité. Un sirop de grenadine propre doit tenir en bouche sans sucrer à l’excès. C’est concret, et mesurable en tests consommateurs.
Des innovations qui comptent pour le quotidien
Pour toi, ça change quoi ? Moins de sucre ajouté dans le verre ou le bol, avec un goût que tu peux apprivoiser. Le tout en soutenant un modèle plus transparent. La bascule se fait en gestes simples, pas en révolution.
- 🥤 Remplace ton sirop sucré de l’après-sport par un sirop à la stévia locale.
- ☕ Teste l’infusette dans ton café filtre. Un seul sachet suffit souvent.
- 🥧 Dans une recette, ajuste d’abord le topping (compote, coulis) plutôt que toute la pâte.
- 📦 Cherche le label bio et la mention d’origine pour savoir ce que tu achètes.
Tu veux un plan simple sur la semaine ? Fais un tour ici ➜ idées de menus sans sucre ajouté. Et fais la paix avec l’assiette : l’objectif n’est pas la perfection, mais des progrès qui te font du bien.
La cohérence environnementale passe aussi par la sobriété emballage, la recyclabilité et des formats dose qui limitent le gaspillage. À mesure que la filière grandit, ce sont ces détails qui crédibilisent l’ensemble : une démarche locale ne peut pas s’arrêter à la frontière du goût.
Dernier point : les marques historiques de sucre – Béghin Say, Saint Louis Sucre, Daddy, Erstein, La Perruche, CristalCo – savent faire du volume et du marketing. La meilleure réponse d’un projet comme Oviatis reste la spécialisation, l’innovation produit et la transparence documentaire. C’est précisément ce que recherchent les consom’acteurs en 2025.
Le message à retenir ? Une stévia locale peut être plus qu’un sucrant : un choix de société à échelle de cuisine, soutenu par une filière qui apprend vite.
Perspectives 2025-2030 : croissance, alliances et communication utile pour La Stevia Française
La fenêtre d’opportunité est là. La demande pour des boissons low/no sugar, des desserts fermentés allégés et des pâtisseries “better-for-you” ne cesse de s’installer. En parallèle, les polémiques sur certains édulcorants de synthèse poussent les consommateurs vers des options naturelles. Sans dramatiser, s’informer reste essentiel ➜ tour d’horizon sur l’aspartame.
Pour accélérer, Oviatis a plusieurs cartes en main. Le B2B est la première : sécuriser des contrats avec des embouteilleurs régionaux, des marques bio nationales, des MDD engagées. La seconde est la pédagogie appliquée, avec des équivalences claires en cuisine et des recettes testées pour lever les freins d’usage.
Sur le B2C, la distribution hybride est clé : magasins spécialisés (type Biocoop), e-commerce, et tests en grandes surfaces sur des références de sirops et poudres faciles à adopter. L’argument décisif n’est pas une promesse miracle, mais la preuve d’usage : goût approuvé, prix cohérent, bénéfice santé plausible dans un ensemble d’habitudes plus saines.
Feuille de route actionnable
- 📘 Guides conso : multiplier les équivalences de dosage et les pas-à-pas. Exemple ➜ remplacer 100 g de sucre.
- 👩🍳 Recettes pilotes : séries “3 ingrédients” pour montrer le bon geste en 5 minutes.
- 🏷️ Transparence : QR code “du champ à l’assiette” avec origine des feuilles et protocole d’infusion.
- 🤝 Partenariats : coffee-shops, artisans glaciers, snacks sportifs clean label.
- 🌱 Agronomie : renfort formation sur les itinéraires techniques pour stabiliser les rendements.
Pour toi qui veux alléger le sucre sans te priver, garde le cap : commence par un seul changement par semaine. Quelques ressources pour te soutenir sans pression ➜ sélection produits sans sucre et astuces anti-grignotage sucré.
En communication, l’angle “local, traçable, bon en bouche” parle davantage que des discours anxiogènes. Les marques d’édulcorants connues comme Pure Via ou Canderel ont saturé le terrain publicitaire classique. La différenciation se jouera sur la preuve : tests consommateurs, collaborations avec nutritionnistes pragmatiques, et présence dans des lieux de vie (cafés, événements sportifs, marchés de producteurs).
Si tu as encore un doute, pose-toi cette question simple : “Est-ce que ce produit m’aide à réduire le sucre sans me frustrer, et est-ce que je comprends d’où il vient ?” Si la réponse est oui, tu tiens ton cap. Pour affiner ta démarche, passe par ici ➜ comprendre la stévia et bénéfices d’une assiette plus légère en sucre.
Dernière astuce : garde une dose de curiosité, teste, ajuste, et note ce qui te plaît vraiment. Une alimentation qui te fait du bien, c’est une somme de petits choix quotidiens cohérents. Tu n’as pas besoin d’être parfaite. Juste curieuse et constante.
La stévia française est-elle meilleure pour la santé que les autres édulcorants ?
La stévia reste un édulcorant non calorique, quelle que soit son origine. L’intérêt d’une stévia française tient surtout à la traçabilité, au profil de goût (infusion vs extraits très purifiés) et à l’empreinte environnementale. Pour les bénéfices santé d’un quotidien moins sucré, parcours ce guide clair ➜ les bénéfices d’un régime sans sucre ajouté.
La stévia a-t-elle un goût amer ? Comment l’éviter ?
Une amertume peut apparaître si le dosage est trop élevé ou selon le type d’extrait. Les infusions de feuilles ont souvent un côté végétal plus rond. Astuce : dose progressivement et utilise des matrices fruitées ou fermentées pour adoucir. Pour t’aider à doser, appuie-toi sur ce repère ➜ équivalences stévia/sucre.
La stévia est-elle vraiment “naturelle” et autorisée en Europe ?
Oui, les glycosides de stéviol (E960) sont autorisés dans l’UE. “Naturelle” signifie ici qu’ils proviennent d’une plante, mais le niveau de transformation varie selon les produits. Si tu entends des infos contradictoires, fais le tri ici ➜ décryptage des rumeurs d’interdiction.
Comment intégrer la stévia sans ruiner mes recettes ?
Commence par les boissons, yaourts et compotes, puis adapte quelques desserts en remplaçant le sucre par la stévia tout en ajustant la masse (fibres, farine, purée de fruits). Un plan simple pour ta semaine est disponible ➜ idées de menus. Et pour t’équiper en produits cohérents ➜ sélection sans sucre.
Les marques historiques de sucre vont-elles écraser la stévia française ?
Ces acteurs – Béghin Say, Saint Louis Sucre, Daddy, Erstein, La Perruche, CristalCo – gardent une force de frappe énorme. La réponse d’Oviatis et de la filière locale se joue sur la différenciation (origine, goût, circuits courts), des alliances B2B et une pédagogie qui aide vraiment les consommateurs. Tu peux soutenir la transition en choisissant des produits tracés et en limitant les sucres ajoutés ➜ mode d’emploi.